Les 17 objectifs de développement durable de l’ONU impriment la marche à suivre pour parvenir à un avenir meilleur et plus durable pour tous. Ces objectifs répondent aux défis mondiaux auxquels nous sommes confrontés, notamment ceux liés aux inégalités, au climat et à la dégradation de l’environnement. L’ONU a interconnecté les objectifs, pour faciliter leur accomplissement d’ici à 2030.

2030, c’est demain. Conscient de l’urgence, Taalweg s’est pleinement approprié 5 de ces 17 objectifs.

Permettre à tous de vivre en bonne santé et promouvoir le bien-être de tous à tout âge sont des conditions essentielles au développement durable.

Des progrès majeurs restent à accomplir pour améliorer la santé de millions de personnes. Le remplacement autant que possible des automobiles, génératrices de pollutions et de stress, par des modes doux tels que le vélo, silencieux, efficace, stimulant pour le corps et l’esprit, s’inscrit totalement dans cette dynamique.

Taalweg est convaincu qu’une généralisation des modes de transport alternatifs, parmi lesquels le vélo a toute sa place, permettra des avancées significatives pour résoudre nombre d’enjeux sanitaires et réduire un large éventail de maladies liées en particulier à la sédentarité (diabète, atteintes cardio-vasculaire, dépression…).

En vue de permettre un développement durable pérenne, l’accès à des modes de transport efficaces et économiques à l’usage ne doit pas faire de laissés-pour-compte, ni être réservé aux catégories privilégiées. La réduction des inégalités est un préalable à un monde socialement et environnementalement apaisé.

Taalweg s’inscrit dans cette démarche visant à permettre que les revenus des moins aisés progressent au moins autant, sinon davantage, que ceux des plus privilégiés. Le rachat de la voiture, suivi de l’usage quotidien du vélo électrique assure cet objectif : ils garantissent à moindre coût l’autonomisation de toutes les personnes et favorisent leur intégration sociale, économique et politique, indépendamment de leur âge, de leur sexe, de leur handicap, de leur statut économique ou autre.

Les villes et les zones métropolitaines représentent près de 70 % des émissions de carbone dans le monde et plus de 60 % des ressources utilisées, bien que n’occupant que 3 % des terres. La solution Taalweg permet une diminution de la part modale liée à la voiture particulière. Ce faisant :

• elle assure l’accès de tous à des systèmes de transport efficaces, accessibles et viables, à un coût abordable à court terme et avec une bonne rentabilité à terme ;
• elle participe à améliorer la qualité de l’air de notre environnement immédiat et permet une utilisation rationnelle des ressources non renouvelables telles que les énergies fossiles ;
• elle participe à renforcer les efforts de protection et de préservation du patrimoine humain et culturel, en accordant une attention particulière à des espaces publics apaisés et sûrs, notamment pour les plus vulnérables d’entre nous (enfants, personnes âgées, personnes en situation de handicap…).

En France à ce jour, l’utilisation des près de 40 millions de voitures particulières en circulation pèse pour 18% de l’enveloppe énergétique globale, ceci sans même compter le coût carbone de la construction des véhicules (rapport Faits et Chiffres 2022, Union Routière de France) !

La crise du COVID-19 a révélé le paradoxe auquel nous sommes confrontés : les êtres humains ont des besoins illimités, mais la capacité de la planète à les satisfaire est limitée. Avec 10 milliards de personnes attendues en 2050, l’équivalent de près de trois planètes serait nécessaire au maintien des modes de vie actuels.

Taalweg propose une solution tenant compte des limites des ressources naturelles. Une consommation et une production durablement efficientes visent à « faire mieux avec moins » : un vélo, même électrique, présente un coût écologique équivalent à une fraction de celui d’une voiture particulière, à la production comme à l’utilisation.

L’année 2022 a été l’année la plus chaude jamais enregistrée en France. Elle intervient pourtant seulement à l’orée de décennies promettant d’être toujours plus perturbées.

L’Agence internationale de l’énergie (AIE) indique également que la trajectoire de croissance des émissions de CO₂, comme celle d’autres gaz à effet de serre (ou GES), est « insoutenable », avec des émissions mondiales de GES liées à l’énergie de 36,8 gigatonnes : un record historique.

Si les changements climatiques perturbent désormais les économies nationales et affectent des vies, tandis que les phénomènes météorologiques deviennent plus extrêmes, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) nous informe qu’il est encore possible, sur la base de changements volontaristes de comportements, de limiter à 2°C l’augmentation de la température moyenne globale comparée aux niveaux préindustriels.

Taalweg prend ainsi pleinement part à une économie du XXI^e siècle plus propre, verte, saine, sûre et résiliente, en proposant un changement systémique concernant les modalités de transport, avec un impact concret à court et moyen termes sur les niveaux de GES dans l’atmosphère.